Comment Lucien Bôle-Richard utilise le Panorama Entreprises pour avoir un état des lieux précis et exhaustif de la situation de l'entreprise à laquelle il a à faire.

Droit des sociétés, droit commercial · Lucien Bôle-Richard · Conseil & Contentieux

“J'ai besoin d'être curieux. La recherche dans les actes de toutes les entreprises répond à cet enjeu. Quand je rédige des statuts par exemple, voir les bonnes pratiques d’un secteur d’activité spécifique m’ouvre le champ des possibles.”

Quand vous exercez en droit commercial et du droit des sociétés, vous avez forcément déjà fait face à cette situation.

Nouveau client. Nouvel adversaire. Bref, vous rencontrez une entreprise que vous ne connaissez pas. Il faut aller étudier ses actes et statuts, pour se renseigner sur sa santé financière, sa gouvernance, son passif contentieux, etc.

Un processus fastidieux, chronophage, durant lequel on a toujours la crainte de passer à côté de quelque chose.

Parce que quand on parle de données des entreprises, le diable se cache souvent dans les détails.

Lucien Bôle-Richard, avocat en France et en Italie, exerce des deux côtés de la frontière, à Naples et Paris. Droit commercial, droit des sociétés, mais aussi droit fiscal, droit du travail et des successions : quand il conseille et défend ses clients franco-français et franco-italiens (ou italo-français, selon là où on se place), il a pris l’habitude de passer par Doctrine et notamment son Panorama Entreprises : cette nouvelle brique qui permet d’avoir accès à toute l’information contentieuse, juridique et sociale des entreprises françaises, de manière organisée et centralisée.

Nous l’avons rencontré pour mieux comprendre son usage. Il vous dit tout dans cet article !

Un réflexe sur chaque dossier”

Que je sois en conseil ou en contentieux, jutilise systématiquement Doctrine. Cela me permet davoir un état des lieux à la fois précis et exhaustif de la situation de lentreprise à laquelle jai à faire.

Par exemple, jai conseillé un client qui possède plusieurs entreprises en France et souhaite changer de résidence fiscale pour aller en Italie, afin doptimiser ce changement. Il me suffit daller sur sa page entreprise pour tout de suite comprendre son contexte : capital social, gouvernance, bilans, passif contentieux… ? Tout est accessible sur une seule et même page.

Mais cela me permet aussi de vérifier les informations données par mon client. Cest dangereux de ne pas avoir toutes les données sur une entreprise, et ça arrive que le client omette, volontairement ou non bien sûr, de donner certaines informations.

Mais ce qui compte, c’est aussi de gagner du temps dans ses recherches. C’est ce que permettent par exemple la frise chronologique de l’entreprise et sa cartographie : une manière de rendre l’information plus digeste et appréhendable.

Sur la cartographie, il apprécie le temps économisé, particulièrement quand il y a des montages complexes dans les participations des sociétés. “Ça m’évite daller voir sur la page de chaque entreprise, comprendre son organisation, pour in fine faire la cartographie à la main.

Pour Maître Lucien Bôle-Richard l’intérêt de Doctrine n’est pas tant dans l’accès à la donnée que dans sa bonne organisation et la certitude de son exhaustivité. “Le fait davoir toute linformation disponible, et de faire le lien, de croiser tous ces éléments”, c’est ce qui rend à ses yeux l’outil pertinent.

Rester réactif tout au long dun dossier”

Avoir l’information à un instant T c’est bien. Mais les dossiers durent rarement quelques jours. Ils se comptent plutôt en mois (voire en années 😱).

C’est pour cette raison que Maître Lucien Bôle-Richard a pris l’habitude de placer sous surveillance les entreprises qu’il rencontre dans ses dossiers.

Jutilise beaucoup les alertes, en cochant les types de documents quil mintéresse de recevoir. Par exemple lorsque je fais du contentieux en droit du travail en France, je mets tout de suite une alerte sur lentreprise (lorsque je suis mandaté par un salarié) contre laquelle j’interviens pour être prévenu en cas d’évolution de la situation juridique de la partie adverse. Typiquement, on a commencé une procédure devant un conseil des prudhommes. Nous avons gagné partiellement et la procédure s’est poursuivie en appel: mais entre temps la société a été placée en liquidation judiciaire. Jaurais eu linformation quoiquil arrive mais avec Doctrine, je reçois immédiatement une alerte, ce qui me permet d’être extrêmement réactif et de prendre des mesures en conséquence.

Satisfaire ma curiosité”

La curiosité, un vilain défaut ? Certainement pas quand on est avocat.

Jai besoin d’être curieux, je suis même obligé d’être curieux quand je rencontre une entreprise sur un dossier. On trouve toujours des choses intéressantes dans les statuts, la manière dont est organisée lentreprise. Cest aussi une façon de prendre le pouls de lentreprise sur sa santé financière, sa gouvernance.

Bref, capter des signaux faibles, détecter les indices qui apparemment insignifiants à première vue mais qui pourront s’avérer déterminants, c’est essentiel pour bien faire son travail. C’est cette curiosité qui permet à l’avocat de comprendre en profondeur l’entreprise, et d’offrir la meilleure assistance juridique possible.

La recherche dans les actes de toutes les entreprises répond aussi à cet enjeu de curiosité : quand je rédige des statuts par exemple, voir les bonnes pratiques dun secteur dactivité spécifique, comparer ce qui se fait dans dautres entreprises, ça mouvre des possibilités.”

Finalement, cest ce que jattends dun outil comme Doctrine : d’élargir mes perspectives, de me donner de nouvelles idées.

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