Pas toujours facile de se dire au revoir.

Moment aussi banal que complexe de la vie d’un salarié ou d’une entreprise, la rupture de contrat de travail pose tout un tas de questions. A combien se chiffrent les indemnités à verser ? Quel préavis ? Quel solde de congés payés ? Depuis quand le salarié est-il cadre ?

Bastien Ottaviani, avocat associé, connaît bien ces enjeux, lui qui conseille depuis maintenant plus de 20 ans dirigeants et sociétés de toutes tailles, de la PME au grand groupe coté. Il a donc l’habitude d’évaluer différemment les contraintes, risques et opportunités en fonction du client qu’il a en face de lui.

Avec plus de 50 avocats répartis entre Paris, Versailles, Toulouse, Rennes et Bamako, son cabinet, Vaughan Avocats, se distingue autant par sa forte coloration sociale que par son agilité qu’il intervienne côté employeur, employé et dirigeant.

Dans cet article, Bastien Ottaviani revient pour nous sur sa manière d’appréhender une rupture de contrat de travail, et sur la recette qu’il a trouvée pour devenir la référence en la matière au cabinet 🤫

Les 3 principales limites d’Excel pour gérer une rupture.

Les ruptures de contrat de travail, c’est tous les jours.

Mais comme 98% des professionnels du droit social, Bastien Ottaviani les gérait principalement… sur Excel.

“J’avais mon petit tableau Excel, une matrice par convention, une cellule pour la date d’entrée, de sortie, etc. Je devais me farcir toutes les pages de la convention collective, de la jurisprudence… Bref, on bricolait et on craignait les loupés.”

Ainsi, il raconte que lorsque son équipe travaillait sur une simulation, ils avaient l’habitude de partir sur des taux de cotisation fixes, alors que celles-ci sont plafonnées par tranche. “Chacun prenait son taux au doigt mouillé. Résultat, notre estimation était forcément indicative, sans garantie.”

Excel impliquait aussi un manque de réactivité, pourtant l’exigence n°1 de ses clients. Au-delà de la nécessité de mettre à jour sa formule au gré des évolutions conventionnelles et législatives, Bastien Ottaviani regrettait par exemple de ne pas pouvoir donner tout de suite, au téléphone, des premiers éléments à ses clients dirigeants d’entreprises par nature (très) pressés.

Sans parler de l’aspect de rendu graphique, essentiel quand il s’agit de soumettre et d’expliquer la simulation réalisée à son client.

“J’avais beau avoir “pimpé” mon Excel pour pouvoir l’envoyer en PDF, ça manquait de clarté dans la présentation”.

Bref, Excel ne suffisait plus à assurer le niveau de service et de réactivité exigé. C’est là qu’arrive sur scène : Jobexit.

Simulation automatisée. Positions sécurisées.

Beaucoup de choses ont changé depuis que Bastien Ottaviani a adopté Jobexit.

“La simulation des ruptures de contrat de travail est devenue non seulement plus rapide, mais surtout plus précise. C’est une sécurité supplémentaire pour nous.”

1. Productivité

De la fiche de paie à la simulation de rupture, il n’y a désormais plus qu’un clic. Pour Maître Ottaviani, c’est la promesse d’une réactivité accrue.

“Mes clients aiment quand ça va vite. Quand je suis au téléphone avec un dirigeant, je peux, sur la base de quelques éléments très simples (package, etc.) lui donner déjà une première vision sur ce à quoi ressemblerait son départ. D’un point de vue commercial, je suis en mesure de lui fournir des informations que d’autres confrères ne donnent pas.”

"C'est un vrai avantage concurrentiel."

2. Sécurité juridique

Aller vite c’est bien. Mais être sûr de son coup, c’est mieux. Jobexit permet ainsi de vérifier nos chiffrages et de corriger ceux de nos clients. L’automatisation de la simulation combinée à la mise à jour en quasi temps réel de la formule, offrent une sécurité juridique sans équivalent.

“Quand je conseille des employeurs qui envisagent un départ, ils veulent d’abord savoir combien ça va leur coûter, et quels sont les risques contentieux. Nous confrontons donc nos chiffrages pour fiabiliser au maximum le calcul. Il arrive fréquemment que notre client n’applique pas la bonne formule, celle-ci n’étant pas toujours la même selon la nomenclature. Jobexit nous permet ainsi de (poliment bien sûr) rectifier le tir auprès du client.”

Et ça va même plus loin. Bastien Ottaviani étant précurseur au sein du cabinet dans l’utilisation du simulateur, certains de ses collègues, associés ou collaborateurs, viennent maintenant le voir pour “adouber leurs calculs”.

“Ça fait des jaloux au cabinet. Est ce que tu peux vérifier mon chiffrage ? Peux-tu le refaire avec ton logiciel ?”

3. Confort

Quand on fait quelque chose tous les jours, mieux vaut le faire dans les meilleures conditions.

“J’ai gagné en confort de travail : Jobexit rend la simulation de rupture de contrat simple, accessible. Du grand public pour les techniciens.”

C’est aussi “un bon complément avec le savoir-faire de l’avocat dans la négociation. La sécurité et la réactivité offertes par le simulateur renforcent la fluidité dans les échanges avec mes clients.”

“Finalement, je ne considère pas Jobexit comme un coût, mais comme un investissement. Un moyen pour moi de me différencier vis-à-vis des confrères et de répondre au besoin de réactivité de mes clients.”