Article R321-52 du Code de commerce

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Version27/03/2007

Entrée en vigueur le 27 mars 2007

Est codifié par : Décret 2007-431 2007-03-25 JORF 27 mars 2007

Le recours n'est pas suspensif d'exécution. Toutefois, le premier président de la cour d'appel de Paris, statuant en référé, peut suspendre l'exécution de la décision ou de certains de ses effets, lorsque celle-ci risque d'entraîner des conséquences manifestement excessives ou qu'il est fait état d'un moyen propre à créer, en l'état de l'instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision.
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Entrée en vigueur le 27 mars 2007

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Décisions10


1Cour d'appel de Paris, Pôle 1 - chambre 5, 8 juillet 2011, n° 11/09900
Désistement

[…] Par acte d'huissier du 31 mai 2011, il a fait assigner le CONSEIL DES VENTES VOLONTAIRES DE MEUBLES AUX ENCHÈRES PUBLIQUES devant le premier président de la cour de céans statuant en référé en suspension de l'exécution provisoire de la décision sur le fondement de l'article R. 321-52 du code de commerce.

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  • Enchère·
  • Meubles·
  • Vente·
  • Désistement·
  • Conseil·
  • Huissier·
  • Référé·
  • Déclaration au greffe·
  • Dessaisissement·
  • Instance

2Cour d'appel de Paris, 7 février 2014, n° 14/02513

[…] Considérant que selon l'article R 321-52 du code de commerce : « Le recours n'est pas suspensif d'exécution. Toutefois, le premier président de la cour d'appel de Paris, statuant en référé, peut suspendre l'exécution de la décision ou certain de ses effets, lorsque celle-ci risque d'entraîner des conséquences manifestement excessives ou qu'il est fait état d'un moyen propre à créer, en l'état de l'instruction, un doute sérieux quant à la légalité de la décision » ;

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  • Vente·
  • Enchère·
  • Meubles·
  • Opérateur·
  • Sanction·
  • Code de commerce·
  • Conséquences manifestement excessives·
  • Légalité·
  • Conseil·
  • Activité

3Cour d'appel de Paris, 23 juillet 2011, n° 10/14142
Confirmation

[…] Vu l'assignation en référé suspension d'exécution provisoire en date du 19 juillet 2010 aux termes de laquelle la SAS Faure et Z X font valoir tour à tour que les dispositions réglementaires de l'article R 321-52 du Code de commerce constituent une atteinte à la présomption d'innocence, que les conséquences de la décision litigieuse sont telles qu'elles aboutissent à une véritable fermeture administrative et risquent de compromettre de façon irrémédiable tant l'activité de la SAS que celle de Maître X ct qu'enfin lcs ventes litigienses ne sont pas des ventes de gré à gré mais des ventes aux enchères publiques sur

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  • Vente·
  • Récepteur·
  • Présomption d'innocence·
  • Légalité·
  • Conseil·
  • Gré à gré·
  • Suspension·
  • Conséquences manifestement excessives·
  • Sanction disciplinaire·
  • Commerce
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