Article D312-10 du Code de l'éducation

Chronologie des versions de l'article

Version24/05/2006
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Version31/08/2013

Les références de ce texte avant la renumérotation sont les articles : Décret n°2005-1289 du 17 octobre 2005 - art. 4, v. init., Décret n°2005-1289 du 17 octobre 2005 - art. 4 (Ab)

Entrée en vigueur le 31 août 2013

Est codifié par : Décret n°2006-583 du 23 mai 2006

Modifié par : Décret n°2013-783 du 28 août 2013 - art. 3

Les membres du Haut Conseil de l'éducation artistique et culturelle sont nommés pour trois ans par arrêté du ministre chargé de la culture et du ministre chargé de l'éducation.


Les membres mentionnés aux c, d, e et f du 1° de l'article D. 312-9 sont nommés sur proposition de chacun des ministres concernés.


Les membres mentionnés au 2° de l'article D. 312-9 sont désignés par chacun des organismes concernés.


Le ministre chargé de la culture et le ministre chargé de l'éducation nomment par arrêté un vice-président choisi parmi les membres du Haut Conseil de l'éducation artistique et culturelle.

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Entrée en vigueur le 31 août 2013

Commentaires4


M. David Habib · Questions parlementaires · 16 avril 2013

En effet, l'article 312-10 du code de l'éducation, issu de la loi d'orientation de 2005, est maintenu mais l'absence de mention des langues régionales dans la nouvelle loi, si elle n'est pas prise en compte, sera comprise par les associations et structures représentatives d'enseignants et de professeurs comme la preuve du désengagement de l'État et du ministère de l'éducation nationale. […]

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M. Boucheron Jean-Michel · Questions parlementaires · 5 juillet 2011

Cette décision est contraire à l'article 75-1 de la Constitution française, aux engagements internationaux de la France (convention de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine immatériel du 17 octobre 2003) et à l'article 312-10 du code de l'éducation nationale. La non-ouverture du CAPES de langues régionales pour 2012 est également en contradiction avec les déclarations du Président de la République, notamment celle de La-Chapelle-en-Vercors du 12 novembre 2009 où il affirmait : « laisser disparaître [les langues régionales] serait une faute. Nous nous appauvririons ».

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M. Boisserie Daniel · Questions parlementaires · 31 mai 2011

Cette décision de fermeture est par ailleurs contraire à l'article 75-1 de la Constitution française, aux engagements internationaux de la France (convention de l'UNESCO pour la sauvegarde du patrimoine immatériel du 17 octobre 2003), à l'article 312-10 du code de l'éducation nationale et aux déclarations du président de la République, et notamment celle de La-Chapelle-en-Vercors, le 12 novembre 2009 où il affirmait : « les laisser disparaître serait une faute. Nous nous appauvririons ». Il lui demande donc de bien vouloir corriger la faute commise par son ministère.

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