Article L248-1 du Code de l'action sociale et des famillesAbrogé

Chronologie des versions de l'article

Version12/02/2005

Entrée en vigueur le 12 février 2005

Est créé par : Loi n°2005-102 du 11 février 2005 - art. 80 () JORF 12 février 2005

Est codifié par : Loi n°2002-2 du 2 janvier 2002

Est codifié par : Rapport au Président de la République relatif à l'ordonnance n° 2000-1249 du 21 décembre 2000

Des décrets en Conseil d'Etat définissent les modalités de formation qui peuvent être dispensées aux aidants familiaux, aux bénévoles associatifs et aux accompagnateurs non professionnels intervenant auprès de personnes handicapées.
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Entrée en vigueur le 12 février 2005
Sortie de vigueur le 19 mai 2011

Commentaires4


M. Nicolas Démoulin · Questions parlementaires · 17 juillet 2018

Le code de l'action sociale et de la famille, en ses articles R. 245-7 et L. 248-1 caractérise juridiquement l'aidant : « est considéré comme un aidant familial, le conjoint, le concubin, la personne avec laquelle le bénéficiaire a conclu un pacte civil de solidarité, l'ascendant, le descendant ou le collatéral jusqu'au quatrième degré du bénéficiaire, ou l'ascendant, le descendant ou le collatéral jusqu'au quatrième degré de l'autre membre du couple qui apporte l'aide humaine et qui n'est pas salarié pour cette aide ».

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M. Warsmann Jean-Luc · Questions parlementaires · 11 novembre 2008

En effet, il semblerait que les décrets en Conseil d'État prévus par l'article L. 248-1 du code de l'action sociale et des familles n'aient pas encore été publiés. […]

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M. Dolez Marc · Questions parlementaires · 15 avril 2008

Les aidants familiaux bénéficient ainsi aujourd'hui d'un droit à la formation (L. 248-1 du code de l'action sociale et des familles) mais aussi de la validation des acquis de l'expérience (VAE), s'ils souhaitent s'engager dans une carrière médico-sociale. […] Par ailleurs, l'article 125 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2007 a institué le congé de soutien familial en faveur de personnes salariées ou non salariées devant cesser leur activité professionnelle pour s'occuper d'un proche souffrant d'un handicap ou d'une perte d'autonomie d'une particulière gravité. Il s'agit donc d'un congé non rémunéré d'une durée de trois mois, renouvelable dans la limite d'un an sur l'ensemble de la carrière, ouvrant des droits à l'assurance vieillesse.

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