Article 19 du Décret du 30 octobre 1935 relatif aux servitudes à imposer aux propriétés pour l'établissement de terrains destinés en partie ou en totalité à l'armée de l'air.

Chronologie des versions de l'article

Version31/10/1935

Entrée en vigueur le 31 octobre 1935

A l'expiration d'un délai de cinq ans qui court de la date de fixation définitive de l'indemnité, l'administration et les intéressés pourront demander la révision de la part de l'indemnité qui est payée annuellement.
Cette révision peut être effectuée, soit par accord amiable, soit par la commission arbitrale d'évaluation. En ce cas, les dépens sont fixés et répartis par le président de la commission.
Aucune demande nouvelle ne peut être formée dans les deux ans qui suivent la révision des indemnités.
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Entrée en vigueur le 31 octobre 1935

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Décisions7


1Cour de Cassation, Chambre Commerciale, du 8 février 1984, 82-12.377, Publié au bulletin
Cassation

[…] Sur le moyen unique, pris en sa premiere branche : vu les articles 19 et 21 du decret-loi du 30 octobre 1935 ; […]

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  • Versement immédiat au client du montant du chèque·
  • Banquier chargé de l'encaissement·
  • Mauvaise foi ou faute lourde·
  • Responsabilité de la banque·
  • Chèque frappé d'opposition·
  • Constatations nécessaires·
  • Responsabilité·
  • Encaissement·
  • Nécessité·
  • Paiement

2Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 24 mai 1976, 75-10.678, Publié au bulletin
Rejet

Aux termes de l'article 19 du décret-loi du 30 octobre 1935, le détenteur d'un chèque endossable est considéré comme porteur légitime s'il justifie de son droit par une suite ininterrompue d'endossements, même si le dernier endossement est en blanc. Dès lors, est légalement justifié l'arrêt qui décide que le porteur légitime d'un chèque endossé en blanc, dont la possession est exempte de vices, a bénéficié d'un don manuel, peu important à cet égard que, par la suite, le porteur ait lui-même endossé le chèque à un tiers ou l'ait fait endosser pour son propre compte.

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  • Dernier endossement en blanc·
  • Endossement en blanc·
  • Remise de la chose·
  • Porteur légitime·
  • Endossement·
  • Don manuel·
  • Tradition·
  • Donation·
  • Validité·
  • Chèque

3Cour de Cassation, Chambre commerciale, du 11 juin 1965, Publié au bulletin
Rejet

[…] puis ayant pretendu, devant la cour d'appel, qu'elle avait considere reveillet comme le legitime porteur des cheques, au sens de l'article 19 du decret du 30 octobre 1935, a qui elle ne pouvait en consequence refuser le payement, il est reproche a l'arret d'avoir rejete une telle pretention, au motif que lorsqu'il y a transmission du cheque par endossement, […]

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  • Constatations suffisantes·
  • Faute de la banque·
  • Responsabilité·
  • Endossement·
  • Chèque·
  • Banque·
  • Notaire·
  • Signature·
  • Tradition·
  • Crédit agricole
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