Loi n° 86-798 du 3 juillet 1986 autorisant la ratification du protocole portant modification de la convention internationale pour l'unification de certaines règles en matière de connaissement du 25 août 1924, telle qu'amendée par le protocole de modification du 23 février 1968, fait à Bruxelles le 21 décembre 1979

Sur la loi

Entrée en vigueur : 4 juillet 1986
Dernière modification : 4 juillet 1986

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Revue Générale du Droit

Promulguée en 1900, la loi Millerand fait entrer les travailleurs dans le siècle nouveau en orchestrant une transition progressive vers la journée de dix heures. Les avancées sociales s'accélérèrent ensuite. Six ans plus tard, en 1906, le repos dominical devint obligatoire. En 1919, la loi institua la journée de huit heures (soit 48 heures hebdomadaires). Il est intéressant de remarquer que l'objectif de ces lois se déplace progressivement de la protection de la santé des travailleurs vers la prise en compte de leur bien-être. […]

 

Revue Générale du Droit

Promulguée en 1900, la loi Millerand fait entrer les travailleurs dans le siècle nouveau en orchestrant une transition progressive vers la journée de dix heures. Les avancées sociales s'accélérèrent ensuite. Six ans plus tard, en 1906, le repos dominical devint obligatoire. En 1919, la loi institua la journée de huit heures (soit 48 heures hebdomadaires). Il est intéressant de remarquer que l'objectif de ces lois se déplace progressivement de la protection de la santé des travailleurs vers la prise en compte de leur bien-être. […]

 

Décisions4


1Cour de Cassation, Chambre sociale, du 7 avril 1993, 90-45.399, Inédit

Rejet — 

[…] Sur le rapport de M. Bonnet, conseiller référendaire, les observations de la SCP Delaporte et Briard, avocat de la société Intrafor-Cofor, les conclusions de M. Chauvy, avocat général, et après en avoir délibéré conformément à la loi ;

 

2Cour de cassation, Chambre sociale, du 22 juin 1993, 89-45.657, Inédit

Rejet — 

[…] M. Kuhnmunch, président, M. Bonnet, conseiller référendaire rapporteur, MM. G…, E…, H…, Z…, A…, B…, Le Roux-Cocheril, conseillers, M me X…, M. D…, M mes F…, Y… irard-Thuilier, conseillers référendaires, M. de Caigny, avocat général, M me Ferré, greffier de chambre ; Sur le rapport de M. le conseiller référendaire Bonnet, les observations de la SCP Delaporte et Briard, avocat de la société Intrafor-Cofor, les conclusions de M. de Caigny, avocat général, et après en avoir délibéré conformément à la loi ; Sur les deux moyens réunis :

 

3Cour de Cassation, Chambre criminelle, du 26 janvier 1988, 87-81.152, Publié au bulletin

Cassation partielle — 

° La cassation ou l'annulation d'un arrêt motivée par l'abrogation de la loi pénale postérieure à la saisine de la juridiction répressive n'a d'effet sur la décision qu'en ce qu'elle concerne l'action publique. ° Les juridictions correctionnelles ou de police restent compétentes pour statuer sur l'action civile lorsqu'elles ont été saisies, en même temps que de l'action publique, antérieurement à l'abrogation de la loi pénale. ° Lorsque la cassation d'un arrêt est motivée par l'abrogation de la loi pénale postérieure à la saisine des juges répressifs, il appartient à la Cour de Cassation de se prononcer aussi sur la partie du pourvoi qui concerne les intérêts civils.

 

Document parlementaire0

Doctrine propose ici les documents parlementaires sur les articles modifiés par les lois à partir de la XVe législature (2017).

Versions du texte

Article 1
Est autorisée la ratification du protocole portant modification de la convention internationale pour l'unification de certaines règles en matière de connaissement du 25 août 1924, telle qu'amendée par le protocole de modification du 23 février 1968, fait à Bruxelles le 21 décembre 1979 et dont le texte est annexé à la présente loi (1).
(1) Il sera publié ultérieurement au Journal officiel de la République française.
Par le Président de la République :
FRANçOIS MITTERRAND.
Le Premier ministre,
JACQUES CHIRAC.
Le ministre des affaires étrangères,
JEAN-BERNARD RAIMOND.