Article 48 de la Loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés

Chronologie des versions de l'article

Version01/01/1980
>
Version07/08/2004
>
Version31/03/2011
>
Version25/05/2018
>
Version01/06/2019
>
Version31/07/2021

Entrée en vigueur le 7 août 2004

Modifié par : Loi n°2004-801 du 6 août 2004 - art. 7 () JORF 7 août 2004

La commission peut exercer les pouvoirs prévus à l'article 44 ainsi qu'au I, au 1° du II et au III de l'article 45 à l'égard des traitements dont les opérations sont mises en oeuvre, en tout ou partie, sur le territoire national, y compris lorsque le responsable du traitement est établi sur le territoire d'un autre Etat membre de la Communauté européenne.
Affiner votre recherche
Entrée en vigueur le 7 août 2004
Sortie de vigueur le 31 mars 2011
14 textes citent l'article

Commentaires9


Conseil Constitutionnel · Conseil constitutionnel · 17 mai 2023

En ce qui concerne l'article 36 : 43. […] En ce qui concerne l'article 41 : 48. […] auraient méconnu l'article 34 de la Constitution ; 3. […] Par ailleurs, les mots « aux articles L. 242­5 à L. 242­7 » figurant au premier alinéa des articles L. 242­1 et L. 242­4 du code de la sécurité intérieure, créés par le paragraphe I de l'article 47, doivent être remplacés par les mots « à l'article L. 242­6 ». ­ Décision n° 2021-834 DC du 20 janvier 2022, Loi relative à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure . […]

 Lire la suite…

www.alain-bensoussan.law · 29 avril 2020

Enfin, conformément à l'obligation d'information prévue aux articles 12 à 14 du RGPD et 48 et suivants de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978, les personnes concernées par le traitement doivent être informées des éléments suivants :

 Lire la suite…
Voir les commentaires indexés sur Doctrine qui citent cet article
Vous avez déjà un compte ?Connexion

Décisions73


1Cour d'appel de Lyon, 5 avril 2022, n° 21/00664
Infirmation Cour de cassation : Rejet

[…] Qu'en tout état de cause les articles 48 et 87 de la loi du 6 janvier 1978 comme l'article 23 du RGPD N° 2016/679 excluent l'application du règlement UE si le traitement est opéré par les autorités compétentes lorsque le traitement correspond à «d'autres objectifs importants d'intérêt général,» «notamment un intérêt économique ou financier important de l'Etat membre» «y compris dans les domaines monétaire, budgétaire et fiscal» et surtout lorsqu'il « est mis en oeuvre par les administrations publiques qui ont pour mission soit de contrôler ou de recouvrer des impositions soit d'effectuer des contrôles de l'activité de personnes physiques ou morales pouvant donner lieu à la constatation d'une infraction ou d'un manquement, à des amendes administratives ou à des pénalités.»> ;

 Lire la suite…
  • Impôt·
  • Administration fiscale·
  • Saisie·
  • Détention·
  • Fraudes·
  • Sociétés·
  • Présomption·
  • Visites domiciliaires·
  • Liberté·
  • Destruction

2CNIL, Délibération du 8 octobre 1991, n° 91-094

[…] La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés, Vu la Convention du Conseil de l'Europe pour la protection des personnes à l'égard du traitement automatisé des données à caractère personnel ; Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés ; […] Vu la délibération n° 91-056 du 9 juillet 1991 ; Vu le projet de décret pris en application de l'article 18 de la loi du 6 janvier 1978 ; Vu le projet d'arrêté présenté par le Ministre de l'Education Nationale ; […] – Sur le projet de traitement présenté : Considérant qu'en application de l'alinéa 2 de l'article 48 de la loi du 6 janvier 1978 relative à l'Informatique, […]

 Lire la suite…
  • Personnel enseignant·
  • Éducation nationale·
  • Traitement·
  • Sécurité sociale·
  • Télématique·
  • Mutation·
  • Utilisation·
  • Personnel·
  • Informatique·
  • Identifiants

3CNIL, Délibération du 27 mai 1986, n° 86-89

[…] La Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés ; Vu la Convention du Conseil de l'Europe pour la protection des personnes à l'égard du traitement automatisé des données à caractère personnel ; Vu la loi n° 78-17 du 6 Janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés et notamment ses articles 15, 19 et 48 ; Vu le décret n° 78-774 du 17 Juillet 1978 pris pour l'application de la loi susvisée ; Vu la délibération n° 83-55 du 15 Novembre 1983 modifiée par la délibération n° 85-30 du 9 Juillet 1985 portant avis sur le modèle national « MNT-V3 » d'automatisation des prestations familiales versées par les Caisses d'Allocations Familiales ; […]

 Lire la suite…
  • Acte réglementaire·
  • Délibération·
  • Système informatique·
  • Automatisation·
  • Prestation familiale·
  • Allocations familiales·
  • Cnil·
  • Traitement·
  • Avis·
  • Acte
Voir les décisions indexées sur Doctrine qui citent cet article
Vous avez déjà un compte ?Connexion

Documents parlementaires172

Mesdames, Messieurs, La protection des données à caractère personnel constitue l'une des dimensions du droit au respect de la vie privée ; elle est désormais consacrée comme un droit fondamental à part entière dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne (article 8). La France a toujours été très attentive à cette question et le plus souvent pionnière. Après avoir été l'un des premiers États de l'Union européenne à se doter d'une législation globale de protection des données, avec la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, et … Lire la suite…
Introduction générale ............................................................................................................. 11 Tableau récapitulatif des textes d'application du projet de loi .......................................... 16 Tableau synoptique des consultations obligatoires ............................................................. 18 Article 1er MISSIONS DE LA COMMISSION NATIONALE DE L'INFORMATIQUE ET DES LIBERTES .............................................................................................................................. 19 1. ETAT DES LIEUX ET … Lire la suite…
Le présent projet de loi vise, en son chapitre Ier, à pérenniser et à compléter les instruments de prévention de la commission d'actes de terrorisme dont le législateur a doté l'autorité administrative à l'issue de l'état d'urgence, au terme de trois ans de mise en œuvre et alors que le niveau de la menace demeure toujours très élevé sur l'ensemble du territoire national. Les articles 1er à 4 de la loi n° 2017-1510 du 30 octobre 2017 renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme (dite loi « SILT ») ont ainsi instauré de nouvelles mesures de police administrative … Lire la suite…
Voir les documents parlementaires qui traitent de cet article
Vous avez déjà un compte ?Connexion