Décisions


COUR DE CASSATION, CHAMBRE CIVILE 1, du 7 novembre 1962, Publié au bulletin
Rejet

Un sujet etranger ayant fourni a l'appui de sa declaration de repudiation de la nationalite francaise, regulierement recue et enregistree conformement a l'article 8 ancien du code civil, des certificats etablis par un consul et contresignes par l'ambassade de son pays, attestant qu'il avait conserve la nationalite de ses parents et satisfait a ses obligations militaires au regard de ce pays ne saurait contester la regularite de cette declaration en produisant de nombreuses annees apres des certificats d'un maire de son pays tendant a contester la realite des justifications fournies, ces documents n'etant pas de nature a remettre en question une declaration legalement soucrite et assortie, a l'epoque ou elle etait intervenue, de toutes les justifications propres a en etablir la regularite.

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  • Repudiation·
  • Justifications·
  • Déclaration·
  • Nationalité·
  • Répudiation·
  • Italie·
  • Barge·
  • Juge de paix·
  • Conserve·
  • Régularité

COUR DE CASSATION, CHAMBRE CIVILE 1, du 24 octobre 1960, Publié au bulletin
Rejet

[…] modifiant pour la duree des hostilites l'article 2 de la loi du 10 aout 1927, souscrire, s'il le desirait, la declaration de repudiation prevue par ce dernier texte dans les trois mois du jour ou il avait atteint l'age de dix-huit ans, les juges du fond, qui ont constate que l'interesse ne l'a pas fait et qu'il n'a ni demande, ni obtenu, […]

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  • Repudiation·
  • Enregistrement·
  • Déclaration·
  • Nationalité·
  • Répudiation·
  • Option·
  • Décret·
  • Attaque·
  • Tribunal judiciaire·
  • Monaco

Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 14 janvier 1997, 94-21.700, Publié au bulletin
Rejet

Justifie légalement sa décision une cour d'appel qui, pour opposer à la défense à l'action en divorce intentée par une épouse, la chose jugée par un précédent arrêt ayant déclaré inopposable à l'épouse un acte de répudiation établi au Maroc, retient que, par cet arrêt, il a été irrévocablement jugé que l'acte de répudiation était inopposable à l'épouse, comme procédant d'une fraude du mari, qui avait ainsi tenté d'échapper aux conséquences de la procédure introduite en France par son épouse.

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  • Répudiation de la femme par le mari·
  • Répudiation de sa femme par le mari·
  • Répudiation antérieure de celle-ci·
  • Répudiation antérieure de celle·
  • Acte de répudiation·
  • Portée à l'égard de l'action en divorce exercée par celle·
  • Décision déclarant cet acte inopposable à la femme·
  • Décision déclarant inopposable cet acte à la femme·
  • Décision le déclarant inopposable à la femme·
  • Action en divorce intentée par l'épouse

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Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 31 janvier 1995, 93-10.769, Publié au bulletin
Rejet

Un acte de répudiation rendu non contradictoirement au Maroc n'est pas susceptible d'être reconnu en France. N'acquiesce pas à la répudiation intervenue au Maroc l'épouse qui sollicite ultérieurement devant le juge marocain la majoration des pensions accordées pour chacun des enfants issus du mariage.

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  • Répudiation constatée par le juge marocain·
  • Acquiescement à l'acte de répudiation·
  • Répudiation intervenue au maroc·
  • Acte de répudiation·
  • Répudiation·
  • Partie défenderesse légalement citée ou représentée·
  • Convention franco-marocaine du 5 octobre 1957·
  • Convention franco-marocaine du 10 août 1981·
  • Conformité à l'ordre public international·
  • Statut des personnes et de la famille

Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 3 novembre 1983, 81-15.745, Publié au bulletin
Cassation

N'est pas légalement justifié l'arrêt qui, pour refuser de reconnaître les effets, en France, de la répudiation, intervenue au Maroc, par un marocain musulman, de sa femme, de même nationalité et de même statut personnel, relève que celle-ci n'avait pas été appelée à y défendre ses droits et estime que le caractère révocable de cette répudiation heurte un ordre juridique exigeant la pleine égalité des époux. […]

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  • Demande en divorce de l'épouse répudiée·
  • Répudiation intervenue à l'étranger·
  • Répudiation·
  • Effets d'un droit acquis sans fraude à l'étranger·
  • Application de la loi étrangère·
  • Époux de nationalité marocaine·
  • Conflits de lois·
  • Statut personnel·
  • Effet en France·
  • Effet atténué

Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 19 décembre 1995, 93-19.950, Publié au bulletin
Rejet

C'est sans contrevenir aux dispositions de la Convention franco-marocaine du 10 août 1981 et conformément à l'engagement de la France de garantir à toute personne relevant de sa juridiction l'égalité des droits et responsabilités des époux lors de la dissolution du mariage reconnue par l'article 5 du protocole du 22 novembre 1984, n° 7 de la Convention européenne des droits de l'homme, qu'une cour d'appel retient, à juste titre, qu'en l'absence de débats contradictoires, l'acte de répudiation d'un mari marocain, remis à son épouse marocaine, est manifestement incompatible avec l'ordre public français, pour décider que cette répudiation n'a pas d'effet sur l'action en contribution aux charges du mariage intentée postérieurement en France par l'épouse.

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  • Acte de répudiation intervenu sans débats contradictoires·
  • Répudiation constatée par le juge marocain·
  • Répudiation constatée par un juge marocain·
  • Répudiation·
  • Conformité à l'ordre public international français·
  • Convention franco-marocaine du 5 octobre 1957·
  • Incompatibilité avec l'ordre public français·
  • Convention européenne des droits de l'homme·
  • Convention franco-marocaine du 10 août 1981·
  • Conformité à l'ordre public international

Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 3 juillet 2001, 00-11.968, Publié au bulletin
Rejet

La conception française de l'ordre public international ne s'oppose pas à la reconnaissance en France d'un divorce étranger par répudiation unilatérale par le mari dès lors que le choix du tribunal par celui-ci n'a pas été frauduleux, que la répudiation a ouvert une procédure à la faveur de laquelle chaque partie a fait valoir ses prétentions et ses défenses et que le jugement algérien, passé en force de chose jugée et susceptible d'exécution, a garanti des avantages financiers à l'épouse en condamnant le mari à lui payer des dommages-intérêts pour divorce abusif, une pension de retraite légale et une pension alimentaire d'abandon.

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  • Répudiation constatée par un juge algérien·
  • Répudiation·
  • Conception française de l'ordre public international·
  • Convention franco-algérienne du 27 août 1964·
  • Époux de nationalité algérienne·
  • Accords et conventions divers·
  • Conventions internationales·
  • Algérienne du 27 août 1964·
  • Reconnaissance en France·
  • Convention franco

Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 8 décembre 1987, 85-16.645, Publié au bulletin
Rejet

Par suite, une épouse de nationalité marocaine répudiée par son mari de même nationalité, selon un acte homologué par le juge marocain, n'est pas fondée à faire valoir au soutien du pourvoi qu'elle a formé contre l'arrêt qui a rejeté sa demande de pension alimentaire fondée sur l'article 247 du Code civil au motif que la répudiation avait dissous le mariage sans laisser subsister à la charge du mari un devoir de secours au profit de la femme répudiée, le moyen tiré de ce que l'ordre public français s'opposerait aux effets en France d'une répudiation unilatérale intervenus à l'étranger

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  • Demande de pension alimentaire de l'épouse répudiée·
  • Répudiation constatée par le juge marocain·
  • Répudiation intervenue à l'étranger·
  • Répudiation·
  • Convention franco-marocaine du 10 août 1981·
  • Statut des personnes et de la famille·
  • Application de la loi étrangère·
  • Époux de nationalité marocaine·
  • Conventions internationales·
  • Marocaine du 10 août 1981

Cour de Cassation, Chambre civile 2, du 5 juin 1985, 84-11.088, Publié au bulletin
Cassation

Ne donne pas de base légale à sa décision la Cour d'appel qui, pour débouter la femme de sa demande en réparation du préjudice que lui causait le refus de son ex-mari de délivrer la lettre de répudiation, ou "gueth", se borne à énoncer qu'elle ne rapportait pas la preuve de l'intention de nuire de celui-ci et déduit ainsi l'absence de faute de la seule absence de preuve par la femme de l'intention de nuire, sans rechercher si, abstraction faite de cette intention, le refus de son ex-mari n'était pas abusif.

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  • Refus par le mari de délivrer la lettre de répudiation·
  • Lettre de répudiation·
  • Responsabilité délictuelle ou quasidélictuelle·
  • Caractère indépendant de l'intention de nuire·
  • Époux unis selon la loi mosaïque·
  • Refus de délivrance par le mari·
  • Époux de confession israélite·
  • Délivrance d'une pièce·
  • Délivrance par le mari·
  • Intention de nuire

Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 17 mai 1993, 91-12.750, Publié au bulletin
Rejet

Le mariage d'époux qui ont acquis la nationalité française avant la seconde répudiation de l'épouse reçue à Fès, et qui demeurent en France, ne peut être dissous que par application de la loi française et la reconnaissance de la répudiation de la femme en dehors du cas prévu à l'article 13, alinéa 2, de la convention franco-marocaine du 10 août 1981, est contraire à l'ordre public de l'Etat dont les deux époux avaient choisi de devenir les nationaux.

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  • Répudiation contraire à l'ordre public français·
  • Convention franco-marocaine du 10 août 1981·
  • Statut des personnes et de la famille·
  • Époux de nationalité française·
  • Conventions internationales·
  • Marocaine du 10 août 1981·
  • Convention franco·
  • Statut personnel·
  • Conflit de lois·
  • Loi applicable
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Commentaires


www.actu-juridique.fr · 18 mai 2021

Légavox · LegaVox · 5 juillet 2019

www.canopy-avocats.com · 18 décembre 2023

Le caractère discrétionnaire d'une répudiation ne heurte pas l'ordre public français, à condition qu'elle puisse être exercée de façon égalitaire, par l'époux ou par l'épouse. […] […] La Cour de cassation constate que l'article 31,3 du code du statut personnel tunisien édicte que le cas de divorce utilisé par l'époux n'est pas assimilable à une r& […] #233;pudiation ne heurte plus les valeurs françaises à condition qu'elle ne soit pas une prérogative masculine.

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bacaly.univ-lyon3.fr

A l'occasion d'un litige opposant un fils à l'épouse de son père défunt, la Cour d'appel de Lyon devait se prononcer sur une demande d'exequatur d'une décision algérienne prononçant une répudiation post mortem. […] Si le contentieux relatif à l'exequatur de répudiations est abondant en droit français, et donne lieu à une jurisprudence constante, la configuration de l'espèce présentée aux juges lyonnais est inédite. […]

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www.jurisguyane.fr · 18 août 2023

Un divorce tunisien n'est pas assimilable à une répudiation […]

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bacaly.univ-lyon3.fr

A l'occasion d'un litige opposant un fils à l'épouse de son père défunt, la Cour d'appel de Lyon devait se prononcer sur une demande d'exequatur d'une décision algérienne prononçant une répudiation post mortem. […] Si le contentieux relatif à l'exequatur de répudiations est abondant en droit français, et donne lieu à une jurisprudence constante, la configuration de l'espèce présentée aux juges lyonnais est inédite. […]

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www.kubnick-avocat.fr · 24 septembre 2023

Répudiation prononcée à l'étranger : conditions de l'opposabilité en France Par un arrêt du 12 juillet 2023, la Cour de cassation se penche sur l'opposabilité en France d'une décision tunisienne de divorce.

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Par françois Mélin · Dalloz · 25 septembre 2023
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Lois et règlements


Article 20-4 du Code civil
Version depuis le 1 septembre 1998 · En vigueur aujourd'hui

Le Français qui contracte un engagement dans les armées françaises perd la faculté de répudiation.

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Article 145 du Code de la nationalité françaiseAbrogé
Version du 20 octobre 1945 au 10 janvier 1973

La preuve d'une déclaration de répudiation de la nationalité française résulte de la production soit d'un exemplaire enregistré de cet acte, soit, le cas échéant, du numéro du Bulletin des lois où il a été inséré, soit, à défaut, d'une attestation délivrée par le ministre de la justice à la demande du requérant, constatant que la déclaration de répudiation a été souscrite et enregistrée.

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Article 23-5 du Code civil
Version depuis le 1 septembre 1998 · En vigueur aujourd'hui

En cas de mariage avec un étranger, le conjoint français peut répudier la nationalité française selon les dispositions des articles 26 et suivants à la condition qu'il ait acquis la nationalité étrangère de son conjoint et que la résidence habituelle du ménage ait été fixée à l'étranger.

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Article 140 du Code de la nationalité françaiseAbrogé
Version du 20 octobre 1945 au 10 janvier 1973

Dans le cas où la loi donne la faculté de souscrire une déclaration en vue de répudier la nationalité française ou de décliner la qualité de Français, la preuve qu'une telle déclaration n'a pas été souscrite ne peut résulter que d'une attestation délivrée par le ministre de la justice à la demande de tout requérant.

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Article R*111-3 du Code du service national
Version depuis le 27 novembre 1998 · En vigueur aujourd'hui

Les personnes qui, en vertu des lois sur la nationalité, bénéficient de la faculté de décliner ou de répudier la nationalité française, sont inscrites sur les listes de recensement à partir de l'âge de seize ans, dès lors qu'elles se présentent à la mairie de leur domicile ou à leur consulat de rattachement.

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Article 18-1 du Code civil
Version depuis le 23 juillet 1993 · En vigueur aujourd'hui

Toutefois, si un seul des parents est français, l'enfant qui n'est pas né en France a la faculté de répudier la qualité de Français dans les six mois précédant sa majorité et dans les douze mois la suivant.

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Article L1 du Code du travail
Version depuis le 1 mai 2008 · En vigueur aujourd'hui

Tout projet de réforme envisagé par le Gouvernement qui porte sur les relations individuelles et collectives du travail, l'emploi et la formation professionnelle et qui relève du champ de la négociation nationale et interprofessionnelle fait l'objet d'une concertation préalable avec les organisations syndicales de salariés et d'employeurs représentatives au niveau national et interprofessionnel en vue de l'ouverture éventuelle d'une telle négociation. A cet effet, le Gouvernement leur communique un document d'orientation présentant des éléments de diagnostic, les objectifs poursuivis et les principales options. Lorsqu'elles font connaître leur intention d'engager une telle …

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Article 20-3 du Code civil
Version depuis le 23 juillet 1993 · En vigueur aujourd'hui

Dans les cas visés à l'article précédent, nul ne peut répudier la nationalité française s'il ne prouve qu'il a par filiation la nationalité d'un pays étranger.

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Documents parlementaires

Le b) du 4° du I supprime la formalité d'enregistrement pour les actes portant acceptation ou répudiation de successions, legs ou communautés en les retirant de la liste prévue à l'article 635 du code général des impôts. Les 10° et 11° du I suppriment le droit fixe de 125 euros pour ces actes en abrogeant respectivement le 2° de l'article 847 et l'article 848 du code général des impôts. Lire la suite…
Aujourd'hui 4 et 5 ans, avec cette proposition 5 ou 8 ans, demain ? Combien d'années faut-il avoir été marié à un Français pour pouvoir être considéré(e) comme un membre à part entière de la communauté nationale ? A l'heure où la durée moyenne d'un mariage est estimée à 15 ans, l'augmentation de ces durées crée un double couperet, pour les femmes notamment, pour lesquelles on ajouterait l'exil à la répudiation. Lire la suite…
Sur l'article unique, renuméroté article unique
26 et suivants du présent titre » 10 « En cas de mariage avec un étranger, le conjoint français peut répudier la nationalité française selon les dispositions des articles 26 et suivants à la condition qu'il ait acquis la nationalité étrangère de son conjoint et que la résidence habituelle du ménage ait été fixée à l'étranger » 11 Convention européenne sur la nationalité, adoptée le 6 novembre 1997. Lire la suite…
la continuité de la dispense de paiement des droits d'enregistrement dont bénéficient ces actes depuis le 1 er janvier 2019. Les actes constatant la transformation d'une société, ainsi que l'augmentation, l'amortissement ou la réduction de son capital restent quant à eux soumis à l'enregistrement (article 635, 1-5° du CGI). Les dispositions soumettant obligatoirement à la formalité d'enregistrement les actes portant acceptation ou répudiation de successions, legs ou communautés (article 635, 2-2° du CGI), les certificats de propriétés (article 635, 2-3° du CGI), les inventaires de meubles Lire la suite…
(...) 3° Les actes portant transmission de propriété ou d'usufruit de biens immeubles ; 4° Les actes portant mutation de jouissance à vie ou à durée illimitée de biens immeubles de fonds de commerce ou de clientèles ; 5° Les actes constatant la prorogation, la transformation ou la dissolution d'une société, l'augmentation, l'amortissement ou la réduction de son capital ; 6° Les actes constatant la formation de groupement d'intérêt économique ; 7° Les actes constatant un partage de biens à quelque titre que ce soit ; (...) 2° Les actes portant acceptation ou répudiation de successions [...] leur rédacteur. […] Lire la suite…
[…] Il est nécessaire, par ailleurs, de lutter contre la pression des conjoints qui demandent le divorce ou la répudiation dans le pays d'origine sans en informer leur épouse, ou exercent par ce biais un chantage sur elles. […] Lire la suite…
[…] En effet, nous le voyons à travers nos débats, à force de glisser en droit français vers la répudiation, il va devenir de plus en plus difficile de justifier les refus [...] d'exequatur de décisions étrangères de répudiation. […] Lire la suite…
Sur l'article 12 bis a, renuméroté article 23
Il ne faut pas abréger le délai requis dans le divorce pour altération définitive du lien conjugal. À force de glisser en droit français vers la répudiation il devient difficile de justifier les refus d'exequatur de décisions étrangères de répudiation. Lire la suite…
Sur l'article 12 bis a, renuméroté article 23
Il ne faut pas abréger le délai requis dans le divorce pour altération définitive du lien conjugal. À force de glisser en droit français vers la répudiation il devient difficile de justifier les refus d'exequatur de décisions étrangères de répudiation. Lire la suite…
Sur l'article 12 bis a, renuméroté article 23
Il ne faut pas abréger le délai requis dans le divorce pour altération définitive du lien conjugal. À force de glisser en droit français vers la répudiation il devient difficile de justifier les refus d'exequatur de décisions étrangères de répudiation. Lire la suite…
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