Article L224-3 du Code de la route

Chronologie des versions de l'article

Version01/06/2001
>
Version16/11/2001
>
Version13/06/2003
>
Version16/03/2011
>
Version27/12/2019

Les références de ce texte avant la renumérotation sont les articles : Code de la route L18-1 (al. 6), Code de la route - art. L18-1 (Ab)

Entrée en vigueur le 27 décembre 2019

Est codifié par : Loi n° 2003-495 du 12 juin 2003

Est codifié par : Ordonnance n° 2000-930 du 22 septembre 2000

Modifié par : LOI n°2019-1428 du 24 décembre 2019 - art. 98 (V)

Dans les cas prévus au I de l'article L. 224-2, le représentant de l'Etat dans le département, s'il s'agit d'un brevet militaire de conduite délivré par l'autorité militaire, transmet directement ce titre à ladite autorité, à qui il appartient de prendre les mesures nécessaires.

Affiner votre recherche
Entrée en vigueur le 27 décembre 2019
1 texte cite l'article

Commentaires7


Geneviève Gondouin · Association Lyonnaise du Droit Administratif · 26 septembre 2011

[…] le caractère définitif du jugement répressif susmentionné entrainant notamment, en application des dispositions de l'article L. 224-9 du code de la route, la perte d'effet de l'arrêté préfectoral de suspension du permis de conduire litigieux. […] En application de l'article L224-7 du code de la route, le préfet du Rhône suspend la validité de son permis de conduire pour 6 mois. […] Aux termes de cet article : « Saisi d'un procès-verbal constatant une infraction punie par le présent code de la peine complémentaire de suspension du permis de conduire, le représentant de l'Etat dans le département où cette infraction a été commise peut, s'il n'estime pas devoir procéder au classement, […]

 Lire la suite…

Maitre Vanessa Fitoussi · LegaVox · 4 juillet 2011

Maitre Vanessa Fitoussi · LegaVox · 4 juillet 2011
Voir les commentaires indexés sur Doctrine qui citent cet article
Vous avez déjà un compte ?Connexion

Décisions171


1Tribunal administratif de Cergy-Pontoise, 1er septembre 2016, n° 1503999
Rejet

[…] En vertu des dispositions des articles L. 224-1 à L. 224-3 et L. 224-7 du code de la route, le représentant de l'Etat dans le département peut prendre des mesures de suspension du permis de conduire à l'encontre des personnes soupçonnées d'avoir commis l'une des infractions visées par ces articles. […]

 Lire la suite…
  • Permis de conduire·
  • Justice administrative·
  • Suspension·
  • Route·
  • Durée·
  • Manifeste·
  • Tribunaux administratifs·
  • Véhicule·
  • Annulation·
  • Dépassement

2Cour administrative d'appel de Lyon, 14 novembre 2013, n° 13LY01379
Rejet

[…] 3. Considérant qu'aux termes de l'article L. 224-9 du code de la route « Quelle que soit sa durée, la suspension du permis de conduire (…) ordonnée par le représentant de l'Etat dans le département en application des articles L. 224-2 et L. 224-7 cesse d'avoir effet lorsque est exécutoire une décision judiciaire prononçant une mesure restrictive du droit de conduire prévue au présent titre. / Les mesures administratives prévues aux articles L. 224-1 à L. 224-3 et L. 224-7 sont considérées comme non avenues en cas d'ordonnance de non-lieu ou de jugement de relaxe ou si la juridiction ne prononce pas effectivement de mesure restrictive du droit de conduire (…) » ;

 Lire la suite…
  • Permis de conduire·
  • Suspension·
  • Route·
  • Justice administrative·
  • Infraction·
  • Relaxe·
  • Vitesse maximale·
  • Tribunaux administratifs·
  • Légalité·
  • Attaque

3Tribunal administratif de Montpellier, 21 octobre 2014, n° 1402172
Rejet

[…] 3. Considérant qu'en vertu des dispositions des articles L. 224-1 à L. 224-3 et L. 224-7 du code de la route, le représentant de l'Etat dans le département peut prendre des mesures de suspension du permis de conduire à l'encontre des personnes soupçonnées d'avoir commis l'une des infractions visées par ces articles ; qu'il résulte en particulier des dispositions des articles L. 224-1 et L. 224-2 que, lorsqu'un dépassement de 40 km/h ou plus de la vitesse maximale autorisée est établi au moyen d'un appareil homologué et que le véhicule est intercepté, […]

 Lire la suite…
  • Justice administrative·
  • Permis de conduire·
  • Infraction·
  • Vitesse maximale·
  • Route·
  • L'etat·
  • Suspension·
  • Tribunaux administratifs·
  • Véhicule·
  • Dépassement
Voir les décisions indexées sur Doctrine qui citent cet article
Vous avez déjà un compte ?Connexion

Documents parlementaires122

Le présent projet de loi réforme en profondeur le cadre général des politiques de mobilités pour offrir à nos concitoyens, sur l'ensemble du territoire, des solutions de déplacement à la hauteur de leurs attentes et des enjeux d'aujourd'hui. La mobilité est au coeur des enjeux de notre société, elle est le premier facteur d'émancipation individuelle, de cohésion sociale et territoriale. Parce que la mobilité physique est celle qui rend possible toutes les autres (sociale, professionnelle...), elle doit être au coeur de la promesse républicaine. Pourtant, notre politique des mobilités n'est … Lire la suite…
Article 31 - Mesure relative au renforcement des sanctions à l'encontre des auteurs de violences ou d'outrage envers un inspecteur du permis de conduire et de la sécurité routière 285 Article 31 (suite) - Mesure relative aux sanctions de l'usage du téléphone tenu en main et à l'aménagement des dispositions applicables à la rétention et à la suspension du permis de conduire 289 Article 31 (suite) - Mesure relative à l'extension du champ d'application des dispositions relatives à l'immobilisation et à la mise en fourrière des véhicules et de simplification et de modernisation des procédures … Lire la suite…
Le présent amendement tend à modifier les dispositions du projet de loi qui visent à renforcer la lutte contre les outrages et les violences commises à l'encontre des examinateurs du permis de conduire. En premier lieu, il supprime la création d'une mesure administrative d'interdiction de se présenter au permis de conduire. Si la prévention des violences à l'encontre des inspecteurs du permis de conduire, chargés d'une mission de service public, constitue sans aucun doute un objectif d'ordre public, faire reposer une mesure administrative restrictive de droits sur une simple plainte, qui … Lire la suite…
Voir les documents parlementaires qui traitent de cet article
Vous avez déjà un compte ?Connexion