Loi pénitentiaire - LOI n° 2009-1436 du 24 novembre 2009 pénitentiaire (1)

Sur la loi

Entrée en vigueur : 26 novembre 2009
Dernière modification : 1 mai 2022
Codes visés : Code civil, Code de procédure pénale et 1 autre

Versions du texte


L'Assemblée nationale et le Sénat ont adopté,
Vu la décision du Conseil constitutionnel n° 2009-593 DC du 19 novembre 2009 ;
Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :

TITRE IER : DISPOSITIONS RELATIVES AU SERVICE PUBLIC PENITENTIAIRE ET A LA CONDITION DE LA PERSONNE DETENUE
CHAPITRE III : DISPOSITIONS RELATIVES AUX DROITS ET DEVOIRS DES PERSONNES DETENUES
SECTION 3 : DES DROITS CIVIQUES ET SOCIAUX
A modifié les dispositions suivantes :
- Code de procédure pénale
Art. 717-3
SECTION 4 : DE LA VIE PRIVEE ET FAMILIALE ET DES RELATIONS AVEC L'EXTERIEUR

A modifié les dispositions suivantes :

- Code civil
Art. 515-3, Art. 515-5, Art. 2499
SECTION 7 : DE LA SANTE
A modifié les dispositions suivantes :
- Code de la santé publique
Art. L1431-2

Commentaires422


1La surveillance nocturne des DPS dans le viseur du Défenseur des droits
Par margaux Dominati, Ater, Aix-marseille Université · Dalloz · 21 mars 2023

2Dossier documentaire de la décision n° 2022-1034 QPC du 10 février 2023, Syndicat de la magistrature et autres [Placement ou maintien en détention provisoire des…
Conseil Constitutionnel · Conseil constitutionnel · 10 février 2023

Décision n° 2022-1034 QPC du 10 février 2023 Syndicat de la magistrature et autres (Placement ou maintien en détention provisoire des mineurs et relevés signalétiques sous contrainte) Dossier documentaire Source : services du Conseil constitutionnel - 2023 Sommaire I. Contexte de la disposition contestée ...................................................... 5 II. Constitutionnalité de la disposition contestée .................................... 36 Table des matières I. Contexte de la disposition contestée ...................................................... 5 A. Dispositions contestées …

 Lire la suite…

3Restriction de la liberté de correspondances des personnes détenues
Association Lyonnaise du Droit Administratif · 8 janvier 2023

Il résulte de la combinaison de l'article 40 de la loi n° 2009-1436 du 24 novembre 2009 et des articles R. 57-8-16 et R. 57 8 19 du code de procédure pénale que sans préjudice d'éventuelles mesures prises par le juge judiciaire, l'administration pénitentiaire a la faculté de restreindre, au cas par cas, la liberté de correspondance des détenus lorsqu'un courrier paraît compromettre gravement leur réinsertion ou le maintien du bon ordre et la sécurité. Méconnaît ces dispositions la décision par laquelle le directeur d'un centre pénitentiaire qui, se fondant sur un courrier retenu en raison …

 Lire la suite…
Voir les commentaires indexés sur Doctrine qui citent cette loi
Vous avez déjà un compte ?Connexion

Décisions+500


1Tribunal administratif de Marseille, 10 août 2022, n° 2205854
Non-lieu à statuer

Vu la procédure suivante : Par une requête, enregistrée le 14 juillet 2022, M me B D, représentée par M e Aït-Taleb, demande au juge des référés, saisi sur le fondement des dispositions de l'article L. 521-1 du code de justice administrative : 1°) de suspendre l'exécution de la décision du 22 juin 2022 par laquelle le directeur du centre de détention de Salon-de-Provence a refusé de lui accorder un permis de visite auprès de M. C A ; 2°) d'enjoindre au directeur du centre de détention de Salon-de-Provence de lui délivrer sans délai un permis de visite, sous astreinte de 100 euros par …

 Lire la suite…
  • Justice administrative·
  • Garde des sceaux·
  • Légalité·
  • Juge des référés·
  • Urgence·
  • Sérieux·
  • Détention·
  • Aide·
  • Commissaire de justice·
  • Aide juridictionnelle

2Tribunal administratif de Dijon, Blacher sébastien, 7 juillet 2022, n° 2101081
Rejet

Vu la procédure suivante : I, Par une requête, enregistrée le 16 avril 2021, sous le n° 2101081, M. B, représenté par l'AARPI Themis, demande au tribunal : 1°) de condamner l'Etat à lui verser la somme de 1 600 euros, assortie des intérêts au taux légal, eux-mêmes capitalisés, en réparation du préjudice qu'il a subi ; 2°) de mettre à la charge de l'Etat le versement à son conseil de la somme de 1 500 euros en application des dispositions combinées de l'article L. 761-1 du code de justice administrative et de l'article 37 de la loi du 10 juillet 1991 relative à l'aide juridique. Il soutient …

 Lire la suite…
  • Justice administrative·
  • Établissement·
  • Administration pénitentiaire·
  • L'etat·
  • Garde des sceaux·
  • Détention·
  • Liberté fondamentale·
  • Sécurité des personnes·
  • État·
  • Personnalité

3Tribunal administratif de Grenoble, 7 novembre 2013, n° 1302796
Annulation

TRIBUNAL ADMINISTRATIF DE GRENOBLE N°1302796 ___________ M. A X ___________ M. Y Rapporteur ___________ M me Bril Rapporteur public ___________ Audience du 17 octobre 2013 Lecture du 7 novembre 2013 ___________ Aide juridictionnelle totale : décision du 4 septembre 2013 37-05-02-01 C RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS Le Tribunal administratif de Grenoble (1 re chambre) Vu la requête, enregistrée le 3 juin 2013, présentée pour M. A X, détenu à la maison d'arrêt de Grenoble-Varces, XXX à Pont-de-Claix (38800), par M e Z ; M. X demande au tribunal : 1°) …

 Lire la suite…
  • Justice administrative·
  • Prohibé·
  • Homme·
  • Établissement·
  • Associations·
  • Détenu·
  • Garde des sceaux·
  • Liberté fondamentale·
  • Convention européenne·
  • Sauvegarde
Voir les décisions indexées sur Doctrine qui citent cette loi
Vous avez déjà un compte ?Connexion

Documents parlementaires251

Sur le projet de loi ordinaire · Loi promulguée
LOI n° 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice (1)

Mesdames, Messieurs L'état de nos juridictions et de nos prisons ne répond pas aux attentes des citoyens. Le Gouvernement souhaite engager une réforme de la justice pour rendre plus effectives les décisions des magistrats, donner plus de sens à leurs missions et rétablir la confiance de nos concitoyens dans notre justice. La présente loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice permet de lancer des réformes structurelles dans de nombreux domaines, mais l'efficacité de ces réformes nécessite des moyens supplémentaires qui doivent être programmés dans la durée, pour permettre …

Lire la suite…
Sur le projet de loi ordinaire · Loi promulguée
LOI n° 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice (1)

Le parc pénitentiaire comptait, au 1er février 2018, 59 848 places opérationnelles, pour un total de 80 893 personnes écrouées, dont 69 596 détenues. Le taux de densité carcérale à cette date était de 116 % en moyenne, mais plus de 41 000 personnes étaient détenues dans une structure sur-occupée à plus de 120 %. Les maisons d'arrêt concentrent le problème de la surpopulation carcérale : leur taux d'occupation s'élève à 139 %, alors qu'il est de 87 % dans les établissements pour peine. La situation particulièrement critique dans les maisons d'arrêt résulte à la fois de la croissance …

Lire la suite…
Sur le projet de loi ordinaire · Loi promulguée
LOI n° 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice (1)

Mesdames, Messieurs L'état de nos juridictions et de nos prisons ne répond pas aux attentes des citoyens. Le Gouvernement souhaite engager une réforme de la justice pour rendre plus effectives les décisions des magistrats, donner plus de sens à leurs missions et rétablir la confiance de nos concitoyens dans notre justice. La présente loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice permet de lancer des réformes structurelles dans de nombreux domaines, mais l'efficacité de ces réformes nécessite des moyens supplémentaires qui doivent être programmés dans la durée, pour permettre …

Lire la suite…
Voir les documents parlementaires qui traitent de cette loi
Vous avez déjà un compte ?Connexion